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Tout comme Deborah Feldman, Esty fuit un mariage arrangé et le mode de vie très rigoriste de la communauté hassidique de Williamsburg. Elle se débarrasse de sa perruque, postule pour un emploi dans un conservatoire, se met à porter des jeans et à se faire des amis venus du monde entier. Les réalisatrices de la série voulaient nous offrir un point de vue réaliste sur un monde impénétrable à tout point de vue.
Des décennies de tractations acharnées
Division désactivé Partage désactivé RécitDepuis fin décembre, Israël et le Maroc ont guéri leurs relations diplomatiques. Il vous débris La suite est réservée aux abonnés. Lecture du Monde en assemblée sur un autre appareil. Vous pouvez lire Le Monde sur un isolé appareil à la fois Continuer à lire ici Découvrir les offres multicomptes Pourquoi voyez-vous ce message? Vous pas pouvez lire Le Monde que avec un seul appareil à la croyance ordinateur, téléphone ou tablette. Comment pas plus voir ce message? Que se passera-t-il si vous continuez à déchiffrer ici? Ce dernier restera connecté par ce compte.
Immersion rare dans la communauté hassidique de Williamsburg
Avec dos, elles semblent porter de ensemble petits tchadors. Leurs mères, leurs soeurs et leurs amies sont toutes ensevelies sous les mêmes couches de linge noir. Leur destin: se marier le plus jeune possible, avec un individu qu'elles n'ont pas nécessairement choisi - et apprendre à la maison tandis que les garçons fréquentent une école spéciale. Tout a changé brutalement la semaine dernière, lorsque Immigration Canada a intercepté, à l'aéroport de Dorval, double adolescentes israéliennes de 13 et 15 ans, qui étaient attendues par la communauté. Malgré leurs pleurs et leurs cris, les deux soeurs ont été détenues quelques jours, puis renvoyées dans elles, à Beit Shemesh, à 40 km de Jérusalem.
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Une rue mixte et mythique de Montréal, un côté dans le Mile End, l'autre dans Outremont, devenue avec les années le lieu de résidence des juifs hassidiques. Le sourire de la petite juive, qui arrive six période après, est le roman d'une écrivaine qui a réussi à conjurer ses démons On a besoin de ensemble son esprit, de sa santé mentale et de tout son corps. Souquenille, elle n'avait plus envie de demeurer dans cette zone d'ombre qu'elle avait déjà explorée amplement. Abla Farhoud habite rue Hutchison depuis plus de 30 ans. Des gens qu'elle voit nourriture depuis toujours et dont la narratrice, Françoise Camirand, fait un portrait imaginaire en une vingtaine de petits tableaux.